On a parfois l’impression qu’Ubisoft Montréal vit en vase clos avec sa propre machine à assassin, l’Anvil Engine qui tourne désormais depuis plus de quinze ans. Avec Assassin’s Creed Shadows, l’éditeur franco-canadien pousse enfin sa série fétiche dans un Japon féodal fantasmé depuis les débuts, en s’appuyant sur plusieurs studios (Montreal en lead, Québec, Singapour, etc.) Et sur une techno ...