Witch Spring 3
Oh un jeu Switch.
Oh un jeu Switch avec une sorcière.
Oh… dit donc, elle n’a pas beaucoup de tissus sur elle la sorcière !
Alors, ok, nous sommes loin des apparences classiques des sorcières.
Même la petite dernière Sabrina version Netflix (qui pourtant est la version la plus moderne des sorcières) n’était pas portée de cette manière.
Mais ne vous fiez pas aux apparences, certes dans Witchspring sa plastique et sa douceur qui s’en dégage laisse à penser d’une certaine douceur.
Il n’en est rien.
Voici la sorcière sans nom et son pouvoir c’est qu’elle peut donner vie aux marionnettes.
C’est à la suite d’une rencontre avec Adrian que la sorcière sans nom viendra se nommer Eirudy.
Elle vivait cloitrée dans sa forêt en prenant garde à éviter les gardes qui y rodent (les sorcières ne sont pas appréciées).
Les combats se font au tour par tour, rien de bien neuf mais c’est dans l’apprentissage des sorts que le titre sort une excellente carte.
Vous pourrez vous focaliser sur une discipline à pratiquer chaque jour.
Vous pourrez améliorer votre défense, votre magie ou son arme. Mais aussi ses points de vie ou de mana.
A chaque réussite vous permettra de lancer un nouvel entrainement.
Vous l’aurez compris, il va falloir « booster » vos stats si vous voulez être prêt pour le combat.
Les marionnettes (poupées) apporteront des bonus.
Vous pourrez en avoir une qui vous accompagne offrant des capacités spécifiques.
L’évolution se passe via une association d’éléments découvrant des nouveaux cercles magiques et augmentant certains traits de capacités.
Visuellement c’est très joli, très propre. Un univers très manga au dessin détaillé.
Son seul défaut vient du fait que l’intégralité du titre est anglais.
Ainsi que les menus. Une certaine maîtrise de la langue est requise afin de choisir en conséquence l’évolution de votre histoire.